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LES INTERVENANTS

Les chercheurs

Ludovic Azéma, Maître de conférences à l’Université Toulouse 1 Capitole
a exposé le « Rôle politique de la Mutualité sociale agricole ».

Après un Diplôme d’études approfondies (major du DEA Histoire du

droit et des institutions), il soutient en octobre 2008 une thèse sur « La
politique religieuse du Parlement de Toulouse sous le règne de Louis XV ». Elle
a fait l’objet en 2009 du Prix de thèse de la Société française de publication

de textes en histoire juridique, Histoire du droit public, et a été publiée
aux Presses universitaires d’Aix-Marseille, en 2010.

Ludovic Azéma a été le premier chercheur d’UT1 à étudier l’histoire des

MSA : en 2010 il a retracé celle de la Caisse de La Haute-Garonne dans
deux lettres d’information n° 10 et 11 de novembre 2010 et février 2011.

Son étude (112 pages) remonte aussi aux Assurances sociales et souligne
la défense des intérêts des ressortissants du régime par la MSA. Il a été
aidé dans les recherches par ses anciens dirigeants, le défunt président
Chibarie et Frédéric Berardi, premier directeur général de la MSA Midi-

Pyrénées Sud qui évoquait le « défi » relevé pour fusionner les quatre
caisses en une « caisse unique, viable et plus forte que chacune de ses

composantes prises isolément pour faire face à l'avenir ».

Mathieu Peter est aujourd’hui avocat au barreau de Toulouse. Docteur en
droit de l’Université Toulouse 1 Capitole, il a soutenu en 2009 une thèse

sur « Les orphelinats du Tarn sous la Troisième République », portant sur leur
régime juridique. Cette thèse a obtenu le prix 2010 de l’Association
française des docteurs en droit (section Midi-Pyrénées) avant d’être publié

en 2012 aux Presses du Centre universitaire Jean-François Champollion.
L’ouvrage a également reçu le prix "Emile Jolibois" 2012 de la Société des

sciences, arts et belles-lettres du Tarn.

Mathieu Peter a étudié « L’histoire de la Mutualité Sociale Agricole de
l’Ariège » dont les 144 pages ont été condensées dans les Lettres

d’information du Comité régional n° 16 et 17 de novembre 2013 et d’avril
2014. L’auteur a resitué son importante recherche dans le contexte
géographique et sociologique ariégeois, « territoire à l’identité culturelle très

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